Piloter un avion, plus facile que la conduite sur route !

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Voilà un cadeau que je n’aurais jamais imaginé recevoir du père Noël un stage de pilotage d’avion ! Le cadeau inhabituel qui m’a été fait par mon épouse (qui a plus d’inspiration que moi pour trouver des cadeaux) qu’il me tardait de réaliser. Deux jours après, j’ai appelé le club de pilotage pour réserver une date ! Et c’est ainsi que, le week-end dernier, je me suis rendu à l’aérodrome avec ma chère et tendre pour m’envoyer en l’air. Nous avons fait la connaissance de Jérémy, un pilote qui a 5000 heures de vol à son actif. Il nous a donné un petit court théorique, nous avons pris place à bord de l’appareil et je me suis installé côté pilote. Comme l’appareil avait quatre places, ce qui fait que mon ami a pu monter derrière en tant que passagers. J’étais persuadé que mon formateur allait se charger du décollage et de l’atterrissage, qui sont les phases assez délicates. Mais peut-être que je n’étais pas assez stressé à son goût, parce qu’il a décidé de me laisser faire ! Ce n’était pas aussi inconscient qu’il n’y paraît : notre avion était conçu pour former les pilotes : les commandes étaient donc en double. Jean-Marc pouvait ainsi intervenir au besoin. La partie décollage s’est avéré assez facile, en fin de compte. Lorsu’on a mis les gaz, il suffit de tirer progressivement le manche, et c’est fini. Les petits appareils ont très maniables. C’est carrément plus facile à piloter qu’une voiture. En altitude, il faut prendre en compte une dimension, mais dans le même temps, pilotage avion il n’y a en même temps pas d’obstacle ni de circulation. En fait, on peut passer son brevet de pilote avant même d’être assez vieux pour passer le permis de conduire ! Pour autant, ça exige de rester concentré à tout moment. L’appareil est maniable, il ne pèse pas bien lourd : le moindre coup de vent le fait osciller en tous sens. Consultez notre site Web pour en savoir plus sur bapteme en avion. Il est donc indispensable de corriger le tir avec le manche. Mais bon, ce n’est pas bien compliqué. Le seul moment un peu délicat, en définitive, ça a été l’atterrissage. Mais même là, Yannick est intervenu pour corriger notre inclinaison. Mais sinon, j’ai été seul aux commandes jusqu’au bout. Au final, j’ai bien apprécié cette initiation au pilotage d’avion. Et au-dessus de cette campagne, la vue est en outre magnifique. Enfin, à ce que m’a dit ma femme. Parce qu’en ce qui me concerne, j’étais si focalisé sur le pilotage de l’appareil, et je n’ai presque pas regardé le paysage en dessous !