L’intérêt général ou le complot perpétuel

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Mes sentiments, pères conscrits, sont extrêmement différents lorsque je contemple notre les circonstances et les dangers, et quand je revisite dans mon esprit les sentiments de certains qui ont parlé avant moi. Il me semble que ces orateurs ont envisagé seulement comment punir les traîtres qui ont fait la guerre à leur pays, leur par- ents, leurs autels et leurs maisons; mais la situation nous avertit plutôt de nous assurer nous-mêmes contre eux, que de prendre conseil de la peine à condamner sur eux. Autres crimes que vous pouvez punir après avoir été commis; mais comme à cela, sauf si vous empêchez sa commission, vous serez, quand il a une fois pris effet, en vain appel à la justice. Lorsque la ville est prise, aucun pouvoir n’est laissé au vaincu. Mais, au nom des dieux immortels, je vous appelle, qui avez toujours apprécié vos demeures et villas, vos statues et vos images, à un prix plus élevé que le bien-être tarif de votre pays; si vous souhaitez conserver ces biens, peu importe gentil ils sont, auxquels vous êtes attaché; si vous souhaitez vous assurer de la tranquillité pour le plaisir de vos plaisirs, éveillez-vous et agissez pour la défense de votre pays. Nous ne sommes pas débattre maintenant des revenus, ou des blessures causées à nos alliés, mais notre liberté et notre vie est en jeu. Souvent, pères conscrits, j’ai longuement parlé dans cette assemblée; souvent me suis-je plaint du luxe et de l’avarice de nos concitoyens et, par là même, signifie, ont encouru le mécontentement de beaucoup. Moi qui ne me suis jamais excusé, ou conscience, la commission de quelque faute que ce soit, ne pouvait facilement pardonner à la inconduite, ou se livrer à la licence, des autres. Mais même si vous avez peu considéré mes remontrances, pourtant la république est restée en sécurité; sa propre force était la preuve contre votre négligence. La question, cependant, actuellement en discussion, est pas si nous vivons dans un bon ou un mauvais état moral; ni à quel point, ou comment splendide, l’empire du peuple romain est; mais si ces choses autour de nous, quelle que soit leur valeur, sont de continuer les nôtres ou de tomber, avec nous-mêmes, dans les mains de l’ennemi. Dans un tel cas, quelqu’un me parle-t-il de douceur et de compassion? Pour il est vrai que nous avons perdu le vrai nom des choses depuis quelque temps; pour prodiguer le la propriété des autres est appelée générosité, et l’audace dans la méchanceté est appelée héritage isme; et par conséquent l’état est réduit au bord de la ruine. Mais laissez ceux qui ainsi nommez les choses, soyez libéral, car telle est la pratique, hors de la propriété de nos des mensonges; qu’ils soient miséricordieux envers les voleurs du trésor; mais laissez-les pas prodiguer notre sang, et, tout en épargnant quelques criminels, provoquent la destruction de tous les innocents. Gaius César, il y a peu de temps, parlait dans un langage juste et élégant avant cette l’assemblée, sur le sujet de la vie et de la mort; considérant comme faux, je suppose, quelle est a parlé des morts; que le mauvais, allant d’une manière différente du bon, habite des endroits sombre, désolé, triste, et plein d’horreur. En conséquence, il proposa que le bien La propriété des conspirateurs devrait être confisquée et elle-même maintenue en détention dans la prison. villes municipales; craignant, semble-t-il, que s’ils restent à Rome, ils risquent de rester inculqués soit par leurs complices dans le complot, soit par une foule engagée; comme si, pour- bien sûr, les espiègles et les débauchés ne se trouvaient que dans la ville, et non à travers toute l’Italie, ou comme si des tentatives désespérées ne seraient pas plus susceptibles de réussir là où il y a moins de pouvoir pour leur résister. Par conséquent, sa proposition s’il craint aucun danger d’eux, est absurde; mais si, au milieu d’une telle terreur universelle, lui seul est libre d’alarme, plus je crains pour vous et pour moi-même.